Qui es-tu et comment es-tu arrivé dans le recrutement ?
Je suis arrivé dans le recrutement parce que je voulais avoir une aventure entrepreneuriale. Et ça avait l’air super drôle le recrutement. Donc j’ai monté un cabinet.

Qu’est-ce qui t’inspire / qui t’inspire dans ton job ?

Je vole mes idées partout. Tout le temps. Rarement dans le recrutement d’ailleurs. Dans le rap. Dans le développement personnel. Dans la théorie entrepreneuriale. Dans la drague. Dans les arts martiaux.

Ton livre de chevet ?

La bio de Steve Jobs. Je la relis à chaque fois que j’oublie de laisser une marque sur mon monde.

L’outil dont tu ne pourrais pas te séparer ?

Tout le monde va penser « mon smartphone » puis essayer de trouver autre chose. J’assume. Je suis un humain banal. Je peux pas vivre sans Messenger, Slack et Spotify.

De quoi aimerais-tu parler à La Conférence du Recrutement ?

J’aimerais parler de choses éprouvées par l’expérience et le temps. Je déteste écouter des gens qui inventent tout depuis leur intuition. Ça n’a aucune valeur. Avec l’intuition la Terre est plate. Donc je m’oblige a toujours avoir de la littérature et de l’expérience pour appuyer ce que je dis. C’est nécessaire pour ne pas dire de bêtise. Mais c’est pas suffisant : je dis beaucoup de bêtises.

Pourquoi penses-tu que ton intervention peut être utile à des recruteurs ou des managers d’équipes recrutement ?

Je pense que le sujet du process est le sujet le plus sous-estimé et le plus important du recrutement. Car il y a une lutte idéologique pour savoir qui est tributaire de ce process. Les managers ou les recruteurs ?

Or, si le process est cassé tout le reste est un panier percé.